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Vélib'

 



--> Les stations Vélib' à proximité de la résidence


La résidence est dotée d'une station vélib' côté rue Violet, en face de la caserne des pompiers.

stations vélib' rue du Commerce

*  Place du commerce, rue Lakanal, le long du magasin Sephora.
* A l'angle de la rue du Commerce et de l'avenue Emile Zola, devant le magasin Steiner.
*  Au 23 rue du Commerce, devant les boutiques Du Pareil au Même et la banque LCL.

station vélib' rue de Lourmel

* A l'angle de la rue de Lourmel et de la rue du Théâtre, en face de la Poste.



--> Le succès du Vélib'

Au cours de l'été 2007, 10.600 bicyclettes grises ont été installées dans 750 stations. Dès le premier mois, 1,5 millions de vélos ont été loués et 50.000 abonnements de longue durée souscrits. Lors des grèves de la RATP, on enregistra jusqu'à 180.000 locations en une journée.

Après son élection en 2001, Bertrand Delanoë souhaitait créer un parc de vélos en libre-service, les Verts se sont montrés très réticents. Il a fallu le succès de Vélo'v à Lyon pour que le maire puisse imposer son projet. "Aujourd'hui, ils revendiquent le succès de Vélib', c'est un peu fort", commente Pierre Shapira, député européen. "L'ennui avec les Verts, c'est qu'ils sont surtout dans l'interdiction, la contrainte. ils sont dogmatiques", déclare Anne Le Strat, la sixième Verte à avoir rompu avec le groupe écolo et qui a rejoint les listes de Delanoë.

source : Challenges - 17 Janvier 2008


--> Vélib' en proie à un vandalisme croissant
      source Le Figaro 18 Avril 2008 - Alexandre Claude

Plus de 10 % des 15 000 vélos sont volés ou hors d'usage. De plus en plus de jeunes les dégradent et vantent leurs exploits sur Internet.

Jeté dans les escaliers du métro, utilisé pour arpenter les skate parcs ou encore noyé sans état d'âme dans les cours d'eau, depuis sa création, le Vélib' n'a jamais été une espèce aussi menacée. Et les vandales se vantent désormais de leurs forfaits sur la Toile. Véritable scène de théâtre, Internet regorge de vidéos qui témoignent de ces «actes d'incivilité». Les auteurs, souvent adolescents ou jeunes adultes, exhibent leurs exploits. Comme s'ils répondaient à une nouvelle mode.

À Paris, près de 700 vélos ont été volés et autant sont hors d'usage depuis la mise en place du Vélib', en juillet 2007, soit 10 % des 15 000 vélos en circulation. La Préfecture de police reconnaît par ailleurs que plus de 1 300 infractions ont été constatées, du vol avec violence à la conduite en état d'ivresse, depuis la mise en service de ces vélos en libre-service. Avec l'arrivée du printemps et l'engouement à nouveau croissant des Parisiens pour la petite reine, la Somupi, filiale de JCDecaux qui fournit et entretient les Vélib' est contrainte d'employer les grands moyens. Elle redouble de vigilance et a décidé de mettre en place une «liste noire des mauvais utilisateurs» qui concerne pour l'instant les abonnés annuels au service, soit 179 000 usagers. Le même mécanisme est au même moment en cours d'élaboration dans d'autres villes, comme Toulouse qui vit les mêmes affres de dégradations que la capitale avec son «Vélô». Cette liste «a une vocation plus dissuasive que répressive», insiste Rémi Pheulpin, directeur général des opérations chez Decaux.

 

Trafic de métaux à Lyon

La Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés) a imposé certaines restrictions dans la gestion informatique. Pour les usagers quotidiens ou hebdomadaires, la traçabilité est presque impossible. «Face à la délinquance, excepté en cas de flagrant délit, nous sommes impuissants», avoue Matthieu Fierling, adjoint chargé de mission Vélib' à l'Hôtel de ville.

Il arrive aussi qu'involontairement un usager accroche mal son Vélib' à la borne. «Trop d'utilisateurs ne font pas attention. Or, mal raccrochés, les vélos sont vite volés», s'attriste Rémi Pheulpin. Le chèque de caution est, dans ce cas, susceptible d'être encaissé et l'intéressé peut alors être inscrit sur la fameuse liste. Celui qui vole ou dégrade le Vélib' raccroché a, lui, toutes les chances d'échapper aux sanctions.

Autre déception des fondateurs de Vélo'v. À Lyon, cette fois, où les enquêteurs de la brigade des affaires générales de la sûreté départementale ont retrouvé des vélos recyclés revendus chez un ferrailleur en pièces détachées pour une valeur de 45 000 euros. Au total plus d'une tonne d'aluminium neuf, dont plus de 1 200 tiges de selle de vélo, a été retrouvée. Il s'agissait là non d'usagers mais de… cinq employés malveillants qui ont reconnu les faits.


--> Extension du Vélib' dans les communes périphériques

Le lancement du vélib' c'est fait par contrat entre JCDecaux et la Mairie de Paris.
Le 3 Janvier 2008, le Tribunal Administratif de Paris a annulé la délibération du Conseil de Paris qui avait donné son feu vert pour l'installation de 300 stations vélib' en petite couronne.
Dans son ordonnance, le magistrat a considéré que l'extension des vélib' à la banlieue ne pouvait être confiée à l'entreprise JCDecaux par un simple avenant d'un contrat qui ne le lie qu'à la seule Mairie de Paris.
L'extension du vélib' aux communes périphériques devra passer par un nouveau marché public soumis à concurrence.
La Ville de Paris s'est pourvu en cassation devant le Conseil d'Etat. Le recours pourrait prendre 5 à 6 mois.

Le 2 Avril 2008, JCDecaux annonce qu'il a remporté un nouvel appel d'offres pour installer des vélos similaires au vélib dans huit villes de banlieue parisienne.

Les villes concernées font partie de la Communauté d'agglomération de Plaine Commune, en Seine-Saint-Denis, qui compte 330.000 habitants: Aubervilliers,
Epinay-sur-Seine, La Courneuve, L'Ile-Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Stains et Villetaneuse.

Le contrat, d'une durée de 15 ans et dont les détails financiers n'ont pas été communiqués, prévoit que JCDecaux installe dans ces villes près de 400 abribus publicitaires ainsi que plusieurs centaines de panneaux d'informations et d'affichage culturel.

Début 2009, l'extension du vélib s'étend sur l'ensemble des 29 communes en bordure de Paris plus Arcueil, avec 300 nouvelles stations qui s'ajountent aux 1451 stations parisiennes. Toutes sont installées dans une bande d'un kilomètre et demi autour de Paris. Le prix de l'abonnement annuel - 29 € en 2009 - et le coût d'utilisation sont identiques à ceux paratiqués à Paris. La Ville de Paris prend en charge l'installation et l'entretien des stations. Eb échange, elle perçoit l'intégralité des recettes génrées par les utilisateurs. Début 2009, 20 % des abonnés annuels de Vélib' habitaient en banlieue.

 



 


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